Le premier comité directeur
Il ne restait donc plus qu’à désigner un Comité Directeur avant d’entamer les procédures et d’ouvrir les espoirs d’une éventuelle concrétisation des ambitions.
Ce premier Comité, à caractère provisoire, composé des jeunes Mohamed Zouaoui (21 ans), Hédi Kallel (18 ans) et Othmane Ben Soltane (18 ans) avait un profil trop juvénile auquel il fallait apporter plus de poids et de maturité afin de lui assurer le maximum de crédibilité.
Contraints par leur engagement professionnels respectivement industriel et administratif, Abdelhamid Zaouch et Laaroussi Ben Osmane ont plutôt opté pour l’anonymat. C’est donc Mohamed Ben Saïdane, âgé alors de 40 ans et contremaître dans un atelier de tissage, qui fut chargé d’encadrer la bande des trois jeunots.
Les tâches furent donc, réparties de la manière suivante :
Président : Mohamed Ben Saïdane
Vice Président : Mohamed Zouaoui
Secrétaire Général : Othmane Ben Soltane
Trésorier : Hédi Kallel
A partir de là allait commencer le plus dur, l’attente de l’homologation des statuts de l’Espérance. Une attente mêlée d’espoirs, de craintes et qui nécessitait un courage inébranlable.
Et il en fallait puisque les autorités de l’époque misaient sur la lassitudes des protagonistes en faisant traîner les choses en longueur. Mais c’était mal connaître l’abnégation et la ténacité de Mohamed Zouaoui et ses partenaires.
Devant autant de cran les autorités finiront par céder un an plus tard, soit en Novembre 1918, en faisant parvenir à l’Espérance une autorisation verbale d’évoluer dans le championnat en promotion (2ème Série) dont les trois coups n’allaient pas tarder à être donnés.
Ce premier Comité, à caractère provisoire, composé des jeunes Mohamed Zouaoui (21 ans), Hédi Kallel (18 ans) et Othmane Ben Soltane (18 ans) avait un profil trop juvénile auquel il fallait apporter plus de poids et de maturité afin de lui assurer le maximum de crédibilité.
Contraints par leur engagement professionnels respectivement industriel et administratif, Abdelhamid Zaouch et Laaroussi Ben Osmane ont plutôt opté pour l’anonymat. C’est donc Mohamed Ben Saïdane, âgé alors de 40 ans et contremaître dans un atelier de tissage, qui fut chargé d’encadrer la bande des trois jeunots.
Les tâches furent donc, réparties de la manière suivante :
Président : Mohamed Ben Saïdane
Vice Président : Mohamed Zouaoui
Secrétaire Général : Othmane Ben Soltane
Trésorier : Hédi Kallel
A partir de là allait commencer le plus dur, l’attente de l’homologation des statuts de l’Espérance. Une attente mêlée d’espoirs, de craintes et qui nécessitait un courage inébranlable.
Et il en fallait puisque les autorités de l’époque misaient sur la lassitudes des protagonistes en faisant traîner les choses en longueur. Mais c’était mal connaître l’abnégation et la ténacité de Mohamed Zouaoui et ses partenaires.
Devant autant de cran les autorités finiront par céder un an plus tard, soit en Novembre 1918, en faisant parvenir à l’Espérance une autorisation verbale d’évoluer dans le championnat en promotion (2ème Série) dont les trois coups n’allaient pas tarder à être donnés.